Dal quotidiano algerino La tribune.
La coordination intercommunale de la wilaya de
Béjaïa, née de la scission du comité populaire,
a appelé la population béjaouie à une journée
de protestation. Au
La coordinazione dei comuni della provincia di
Bejaia (250 Km da Algeri), ha chiamato la popolazione della provincia ad
una giornata di protestazione oggi Giovedi 26 Luglio 2001. Al programma,
una marcia, un meeting popolare e uno sciopero generale di due ore. Con
queste azioni, la coordinazione spera, imporsi come interlocutore dei potere
pubblici. Si aspetta oggi ad una vera e propria demostrazione di forza.
In una dichiarazione resa pubblica dopo una assemblea generale tenuta il
24 luglio a Sid Aich (una località nella provincia di Bejaia), la
coordinazione intercomunale, affermando il caratere rivendicativo, democratico
e pacifico del movimento, ricorda che "sua unica riferenza resta la
piattaforma delle rivendicazioni di El Kseur" . La coordinazione che
saluta la mobilitazione dei cittadini della provincia per la loro organizzazione,
lamenta e denuncia con forza "il lavoro frazionale opera da certi persone
a delle fine politiche". Ricorda anche la popolazione della provincia a
mobilitarsi attorno alle azioni da entraprendere: la marcia di oggi, la
grande azione nazionale prevista per il 8 agosto 2001, la manifestazione
nazionale che si svolgrà il 20 agosto 2001 a Ifri (la località
dove si e tenuto il primo congresso del FLN durante la guerra di liberazione
1954-1962), per il recupero della radio Soumam ai cittadini della
provincia e infine l'organizzazione di propagande di mobilitazione e sensibilizzazione.
La coordinazione intercomunale, denunciando il
potere assassinio, mafioso, corrotto e che tenta di dividere e recuperare
il movimento uttilizzando i suoi servitori locali, assicura l'opinione
pubblica che "il disprezzo e il lavoro per minare il movimento, svolto
da questo potere illigettimo ed anti-popolare" non possono diminuire della
loro determinazioneper lottare fino alla soddisfazione delle rivendicazioni.
La coordinazione chiama la popolazione alla salvaguardia dell'unità
del movimento.
Leggere l'articolo
integrale in Francese.
Ritorno
alla coordinazione
Ritorno
alla primavera nera.
<div align=right><img src="http://cgi-serv.digiland.it/Count.cgi?df=asaka&dd=A&display=date&dformat=DDMMYY">
<img src="http://cgi-serv.digiland.it/Count.cgi?df=asaka&dd=A&display=clock&tformat=24">
<img border="0" src="http://cgi-serv.digiland.it/Count.cgi?df=asaka&dd=A&display=counter">
Marche et meeting appuyés d’une grève générale de deux heures
Jeudi 26 juillet 2001
Par Moussa Ouyougoute
La coordination intercommunale de la wilaya de Béjaïa, née de la scission du comité populaire, a appelé la population béjaouie à une journée de protestation. Au programme, une marche et un meeting populaire qui seront appuyés d’une grève générale de deux heures. Par cette action, la coordination espère, d’une part, damer le pion au comité populaire dont les animateurs sont épuisés physiquement et intellectuellement inefficaces et, d’autre part, s’imposer en tant que partenaire incontournable des pouvoirs publics. On s’attend aujourd’hui à une véritable démonstration de force. Dans une déclaration établie à l’issue d’une assemblée générale tenue le 24 juillet dernier à Sidi Aïch, la coordination intercommunale, tout en affirmant le caractère revendicatif, démocratique et pacifique du mouvement, rappelle que «sa référence unique reste la plate-forme d’El Kseur». La coordination qui salue la mobilisation et l’adhésion des citoyennes et citoyens de la wilaya à leur organisation regrette et dénonce avec force «le travail fractionnel entrepris par certains individus à des fins politiciennes». Elle appelle, en outre, la population béjaouie à se mobiliser autour des actions à mener : la marche d’aujourd’hui, qui doit avoir lieu au chef-lieu de wilaya, l’action d’envergure nationale prévue le 8 août prochain, la manifestation nationale qui doit se dérouler le 20 août à Ouzellaguen (Ifri), pour la réappropriation de la radio Soummam au profit de la population de Béjaïa et, enfin, l’organisation de campagnes de mobilisation et de sensibilisation. La coordination intercommunale, tout en dénonçant le pouvoir assassin, mafieux et corrompu, qui tente de diviser et de récupérer le mouvement par l’intermédiaire de ses serviteurs locaux, assure l’opinion publique que «le mépris et le travail de sape entrepris par ce pouvoir illégitime et anti-populaire» ne viendront pas à bout de leur détermination à lutter jusqu’à la satisfaction de leurs revendications.La coordination appelle solennellement la population à redoubler de vigilance pour la sauvegarde de l’unité du mouvement.
M. O.
Ritorno
alla coordinazione
Ritorno
alla primavera nera.